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9 janvier 2014 4 09 /01 /janvier /2014 18:39

Cela fait maintenant des semaines que j’entends en boucle des éditorialistes, politiques et journalistes répéter que la « quenelle » de Dieudonné serait un salut nazi inversé, donc un symbole antisémite. Curieuse interprétation. La première fois que je l’ai entendue, je me suis dit : c’est un journaliste pas très malin qui, dans « symbole inversé », ne comprend pas le sens du mot « inversé », on va très vite le corriger et mettre fin à cette polémique inutile. Mais les jours passent, et cette interprétation est reprise partout, sans que personne ne semble questionner réellement le caractère « inversé » du symbole.  

Les deux symboles inversés les plus célèbres sont sans doute :

1.      La croix inversée. La croix est LE symbole chrétien, la croix inversée est LE symbole anti-chrétien, et même satanique.

 

2.      Le pentagramme. A l’endroit, c’est le « bien », la pointe vers le haut représente l’élévation spirituelle.

 

pentagramme-1-copie-1.jpg

 A l’envers, c’est la mal, la pointe est vers le bas (la terre), signe de matérialisme : 

pentagramme-2.jpg

      Il donne ainsi l’impression d’avoir deux cornes, celles du bouc, du diable. Ce qui en fait un autre signe satanique.  

Pas besoin d’être un féru d’ésotérisme pour le savoir, ni d’être particulièrement cultivé, n’importe quel ado vaguement gothique ou fan de metal comprend le sens de l’inversion d’un symbole.

On est là dans la logique la plus élémentaire : inverser un symbole, c’est signifier l’inverse de ce que dit ce symbole. Donc, toujours dans une logique accessible à n’importe quel individu ayant atteint l’âge de raison, le salut nazi inversé symbolise l’inverse du salut nazi, un « salut antinazi », ou un « anti-salut nazi ».

Rien ne prouve que la « quenelle » de Dieudonné soit liée au salut nazi. Et si jamais elle l’était, elle ne serait, d’un point de vue purement symbolique, qu’un signe antinazi. Mais bizarrement, cette interprétation tout ce qu’il y a de plus logique, on ne l’entend pas dans les médias. Je dis « bizarrement » pour la forme, car au fond, il est là encore très logique qu’on refuse de prendre en compte cette dimension. Parce qu’il est plus intéressant, excitant et vendeur de laisser se propager l’idée que ce prétendu « salut nazi inversé » soit un signe antisémite. Et tant pis pour le sens des symboles. Car si les symboles ont un sens, leur inversion aussi en a un. Le meilleur moyen, sans doute, d’emmerder les antisémites qui utilisent ce signe aurait été d’appuyer l’idée qu’en tant que « symbole nazi inversé », s’ils l’utilisent en face d’une synagogue ou d’une école juive, symboliquement, ils ne font que manifester leur hostilité au nazisme par cet « anti-salut nazi ».

Nous sommes dans une société qui sur-interprète beaucoup trop les signes et les discours. Car si la référence au salut nazi est totalement hypothétique dans cette fameuse « quenelle », ce qui ne l’est pas, c’est son sens initial, limpide, qui signifie « je vous la mets bien profond », point barre. C’est du même ordre qu’un bras d’honneur. Le salut nazi est un signe de respect au chef et à l’idéologie nazi, la « quenelle » de Dieudonné est fondamentalement un signe d’irrespect. Qui n’a rien de réservé aux juifs, il l’utilise, de ce que j’ai pu voir, régulièrement contre Hollande. La « chasse aux quenelles » qui est en cours est donc particulièrement ridicule. Que l’Etat français accorde une telle importance à ce geste, que la république se sente menacée parce que des petits malins (ou de gros abrutis, c’est au choix) se prennent en photos en exécutant une quenelle, c’est complètement disproportionné, et ça ne pourra que rendre Dieudonné plus populaire (je n’ose imaginer le nombre d’ados qui vont s’amuser, à l’école et ailleurs, à faire ce geste… mais Valls n’a semble-t-il jamais été ado pour ne pas se rendre compte qu’il fait la meilleure publicité possible pour la quenelle auprès des jeunes).

Je ne suis pas un sympathisant de Dieudonné, mais je suis pour la liberté d’expression la plus large possible. La vraie, hein, pas uniquement celle qui consiste à laisser les gens exprimer ce qui va dans le sens de la morale et de l’idéologie de l’époque. La liberté d’expression n’a de sens que si l’on accepte que des propos dérangeants, détestables et choquants puissent être tenus sans encourir les foudres de la justice. Le prix de la démocratie et de la liberté d’expression, c’est qu’il faut accepter que soient exprimées dans notre société des opinions qui vont totalement à l’encontre de l’opinion et de la morale dominantes, et capables de nous choquer considérablement. Je ne vois que deux exceptions à la liberté d’expression (la vraie) :

-          La diffusion publique d’informations d’ordre privé

-          L’appel à la violence

Et encore, même l’appel à la violence peut être acceptable, dans un cadre artistique. Par exemple dans cette très belle chanson de 1898 à laquelle j’avais consacré un article : Filles d’Ouvriers (écoutez-là, elle vaut le détour). Une chanson féministe et violemment anti-capitaliste, écrite par Jules Jouy (qui était aussi un antisémite notoire… décidément, ils sont partout…) Je vous laisse juger de la violence de la fin, un appel au meurtre des patrons :   

Patrons, tas d'héliogabales, d'effroi saisis,

Quand vous tomberez sous nos balles,

Chair à fusils,

Pour que chaque chien, sur vos trognes,

Pissent à l'écart,

Nous leur laisserons vos charognes,

Chairs à Macquart !

Faut-il interdire sa diffusion au motif qu’elle incite à la haine, et va jusqu’à légitimer l’assassinat des patrons ? Ou que son auteur a aussi écrit des chansons antisémites ? J’espère bien que non…  

Condamner un individu pour « incitation à la haine », même raciale, je n’ai jamais été pour… car où est la limite ? Tout propos virulent, engagé, pamphlétaire, radical, provocateur peut être perçu comme incitant à la haine. S’il fallait censurer toutes les œuvres capables d'inciter à la haine, on n’en finirait pas, faudrait purger les bibliothèques, discothèques et cinémathèques…

Le rock a été accusé de tous les maux : perversion des mœurs et de la jeunesse, apologie de la drogue, satanisme, il a utilisé des symboles nazis… et même pas inversés (j’en parlais dans mon article sur Joy Division). Le metal n’a cessé de jouer avec les signes et références « haineuses » (sataniques, morbides et mêmes - là encore - nazies). Le rap a été accusé maintes fois d’appel à la violence, à la révolte, d’homophobie, de sexisme, apologie du crime et de la vie de gangster, et accusé parfois d’antisémitisme (Professor Griff de Public Enemy est sans doute l’exemple le plus célèbre). Faudra-t-il un jour qu’un comité se réunisse pour interdire tous les artistes dont les textes sont susceptibles d’être perçus comme des incitations à la haine ? Il nous restera quoi ? You’re beautiful de James Blunt ? (ça doit être ça, l’enfer… quand j’entends cette horrible rengaine, j’ai de terribles envies de meurtre, sera-t-il aussi possible de la censurer ?)  

Plus sérieusement, la liberté d’expression, ce n’est pas que Dieudonné ait le droit de faire Vivement Dimanche et s’installe dans le canapé de Michel Drucker pour y dire ce qu’il pense d’Israël et des juifs en général, avec pour invités Soral et Faurisson. C’est juste d’accepter que puissent être tenus dans nos sociétés des propos virulents, subversifs et dérangeants, de quelque bord qu’ils soient...

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20 décembre 2013 5 20 /12 /décembre /2013 11:27

Il y a tout juste un an, je vous proposais une de mes compositions dans le style de celles de Badalamenti pour Twin Peaks, et je viens d’en faire une vidéo… rassurez-vous, il ne m’a pas fallu un an pour y arriver, je ne m’y suis mis que récemment, elle a été faite en 4-5 jours.

Soyez indulgents, c’est la première fois que je fais du montage vidéo (le logiciel utilisé est tout simplement celui de Windows), ici à partir des épisodes pilote et n°2 de Twin Peaks, avec, à la fin, quelques secondes tirées du 4° (pas de spoil, donc, dans cette vidéo) :

 

 

La vidéo sur Youtube

N’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez (être indulgent n’empêche pas la critique), et à la partager avec les fans de Twin Peaks que vous connaissez !

Crédits :

Vidéo : Pilote & Episode 2 réalisés par David Lynch, Episode 4 réalisé par Tim Hunter

Musique et montage vidéo : Akland

 

L’article de l’an dernier sur A walk in Twin Peaks

Mon analyse de la BO de Twin Peaks

 

 

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12 décembre 2013 4 12 /12 /décembre /2013 09:46

Partenariat 

 

Magix Music Maker a changé ma vie… oui, je sais, c’est un peu pompeux comme intro. Mais c’est vrai. Si j’ai commencé la guitare en espérant pouvoir jouer les morceaux que j’aimais, la composition m’a très vite bien plus intéressé que l’interprétation. Et c’est toujours resté le cas.

Pendant de longues années, j’ai composé des chansons à la guitare (et quelques morceaux au clavier). Mais je ne pouvais m’empêcher de ressentir pas mal de frustrations :

1. Au début, écrire des paroles m’amusait… puis c’est rapidement devenu une corvée. Ce qui m’intéressait était de m’exprimer par la musique, pas de m’exprimer « sur » la musique. Et difficile, avec une guitare, de composer autre chose que des chansons.

2. Je n’aime pas ma voix (comme à peu près tout le monde quand on entend sa voix enregistrée), et, surtout, je n’aime pas particulièrement chanter.

3. J’étais passionné par l’harmonie, l’instrumentation, le travail sur le son… qui restent assez limités avec une guitare (même si j’ai bien profité de mon premier rack d’effets, passant des journées à en explorer les possibilités sonores).

4. Jouer en groupe, c’est pas mon truc. Passer des heures à discuter, négocier, tenter de convaincre les autres d’intégrer tel passage ou retirer tel autre, trouver sans cesse des compromis, c’est chiant.

Alors quand un ami, un peu après 1995, m’a filé quelques logiciels de musique, c’était une révélation. Pour moi qui aimais particulièrement les sons électroniques et qui rêvais de composer ma musique sans avoir de comptes à rendre à d’autres musiciens, je pensais avoir trouvé mon bonheur. Mais j’ai vite déchanté. Les ordinateurs de l’époque n’étaient pas ceux de maintenant, c’est peu de le dire, et le mien était particulièrement bas de gamme. Prendre 5 minutes pour charger une boucle de batterie, puis 5 minutes pour un bout de sample (quand il ne faisait pas planter carrément le PC), 5 minutes encore pour les assembler et se rendre compte qu’ils ne collent pas et qu’il faudra tout recommencer, je n’avais pas la patience. Alors je continuais de composer sur ma guitare. Par la suite, avec de meilleurs PC (sans avoir non plus l’ordinateur idéal pour faire de la MAO – musique assistée par ordinateur), j’ai parfois testé quelques nouveaux logiciels. Mais rien ne me satisfaisait. Soit je tombais sur des logiciels assez simples et « légers » destinés à faire de la techno, jouer sur des boucles ou samples… soit je tombais sur des logiciels bien plus adaptés à la composition, mais décidément trop compliqués ou « lourds ». Ne trouvant pas d’outil idéal, je finissais par me résigner à laisser tomber mes désirs de composition. Jusqu’en ce début 2012 où j’ai découvert Magix Music Maker. Nouvelle révélation, mais cette fois, c’était la bonne. Au lieu de tomber de déconvenues en déconvenues, comme ça m’était jusque-là arrivé avec les logiciels de musique (trop limités, ou trop complexes), il n’a cessé, lors des premiers mois de prise en main, de me réjouir par ses possibilités et sa relative simplicité. Ludique au départ, mais avec suffisamment de richesse pour y faire des choses assez complexes. Et si je le recommande vivement, c’est aussi parce qu’il est très accessible et intuitif. A peine installé, sans même avoir besoin de lire le mode d’emploi (et ça m’arrange, j’ai toujours eu la fâcheuse tendance à ne pas lire les modes d’emploi – ne me confiez jamais les clés de la mallette nucléaire), vous sélectionnez un style musical, vous écoutez quelques boucles (batterie, synthés, basse, guitares, percussions etc.), vous les déplacez sur les pistes, vous les superposez, vous bricolez et commencez à vous amuser… A tous les niveaux, il y a de quoi faire pour créer sa musique :

 1.      Vous ne connaissez rien à la théorie musicale, vous n’avez pas la moindre idée de ce que peut être un accord de ré mineur, vous ignorez ce qu’est un intervalle de tierce majeure ? Vous pouvez tout de même faire de la musique et vous initier à la composition avec Magix Music Maker. Je me suis amusé à composer, pour vous le prouver, un morceau fait uniquement de boucles prises sur le logiciel. J’ai cherché des motifs et rythmiques qui me plaisaient, et j’ai essayé de les combiner pour en faire un morceau qui tienne la route. Aucune note n’a donc été écrite par moi sur ce morceau, et aucun sample piqué à un artiste :

 

Mettez la vidéo en plein écran pour mieux voir comment ça se passe... l'interface de Magix Music Maker, avec ici l'architecture du morceau, chaque petit bloc est un sample (tout a été resséré pour tenir dans une fenêtre, mais vous pouvez zoomer dans le logiciel pour travailler plus précisément chaque boucle ou partie). 

Ce type d’utilisation, très ludique et simple (après, faut aussi avoir un peu d’imagination et d’inspiration, le logiciel ne peut tout faire), est presque suffisante si vous cherchez juste à vous amuser une fois de temps en temps avec un logiciel de musique… les tonalités des différentes boucles s’adaptent instantanément à la tonalité de votre morceau (mais il est bien sûr possible de changer de tonalité, voire de se lancer dans la polytonalité – plusieurs tonalités différentes en même temps, mais c'est pas le sujet, la polytonalité est une des choses les plus complexes à faire en musique, donc fortement déconseillé quand on ne maîtrise pas l’harmonie).

 2.      Une fois que vous aurez composé quelques morceaux à base des samples du logiciel, vous aurez sans doute envie de commencer à créer des musiques plus personnelles. Et s’il y a pas mal de samples et de possibilités de combinaisons, il vous faudra, si vous utilisez régulièrement Music Maker, passer à un moment par créer vos propres mélodies, harmonies et rythmes. Là encore, sans connaissance musicale, c’est possible. Il vous faudra certes pas mal tâtonner, mais avec de la persévérance, vous pourrez arriver à de bons résultats.

 Dans les boucles (de batterie, synthés, percussions, guitares etc.), certaines sont modifiables (les boucles midi), d’autres pas. En prenant des boucles midi, vous pourrez commencer par changer quelques notes, modifier des coups de caisse claire ou cymbale à la batterie… rendre vos mélodies et rythmes plus « personnels ». C’est un peu ce qui m’est arrivé, au fond, avec Vortex, le premier morceau que j’ai composé avec Magix Music Maker. J’ai utilisé des boucles du logiciel, puis je les ai éditées en changeant les notes des lignes mélodiques. Et, ensuite, j’ai ajouté mes parties de cordes, composées en partant d’une page blanche.

 

 

 3.      Après m’être fait la main sur Vortex, j’ai pu passer à ce qui m’intéresse vraiment : tout composer de la première à la dernière note (excepté quelques parties de batterie). Ne plus utiliser de boucles, mais chaque fois une page blanche, sur laquelle je place les notes, mélodies, rythmes et harmonies. Vous avez 3 possibilités pour composer la partie d’un instrument avec Magix Music Maker. Soit utiliser le synthé Magix Music Maker livré dans la version complète, soit le clavier virtuel intégré au logiciel (avec le clavier réel ou virtuel, vous pouvez ensuite modifier vos notes sur la feuille d’édition), soit (ce que je fais), en écrivant directement les notes sur la feuille. Dans tous les cas, ceux qui savent jouer du clavier sont favorisés, puisque sur la feuille à éditer, vous avez non pas des partitions avec notes de solfège, mais les touches d’un piano sur le côté pour vous repérer dans les cases où vous placez vos  notes. Ce qui me convient très bien (je trouve plus intuitif d’utiliser cette manière de composer que la notation solfégique, même si je la connais), mais qui pourrait rebuter ceux qui tiennent à composer sur partition (pour cela, il y a d’autres logiciels).

Je ne vais pas vous mentir, si vous ne connaissez rien à la théorie de la musique (ou seulement quelques bases), à ce niveau, ce sera compliqué, il vous faudra beaucoup tâtonner, et ne vous attendez évidemment pas à être capable d’écrire de riches harmonies de cordes ou de cuivres. Mais avec de la volonté, de la motivation, de l’imagination et de l’envie, il y a moyen pour des novices de composer des morceaux écoutables. Après, c’est comme pour tout, si vous voulez faire les choses vraiment bien, faut y passer du temps…

Bien sûr, Magix Music Maker ne sert pas qu’à composer directement, sur ordinateur ou avec le clavier usb, vous pouvez y importer vos propres morceaux… par exemple un groupe rock peut importer ses chansons dans le logiciel et écrire par-dessus des parties d’orchestre grandiloquentes à la Muse (ceci est un très mauvais exemple…) Vous pouvez aussi créer des parties instrumentales sur Music Maker pour accompagner votre voix, et enregistrer votre chant sur votre ordinateur (si vous avez le matériel pour ça), l’incorporer au logiciel puis mixer le morceau…

Comme bon nombre de logiciels de musique (pas tous), Magix Music Maker est plus particulièrement adapté à l’électro… car il est toujours plus facile de synthétiser des sons électroniques qu’acoustiques, les sons d’instruments (trompette, guitare, piano, hautbois, violon) ne peuvent rivaliser avec les vrais, même s’il y en a de très corrects dans le logiciel.

Histoire de vous montrer qu’on peut aussi faire autre chose que de l’électro avec Magix Music Maker, un de mes morceaux « non-électro », si vous ne l’avez pas entendu lorsque je l’ai mis en ligne cet été :

Akland – A Dark Summer

 

Tous mes morceaux ont de toute façon été entièrement réalisés avec les sons du logiciel, sans aucune importation (pas même de samples).

Mon album : Stare Away (y a pas de raison de faire de la pub pour les autres et pas pour soi)...

Version premium ou pas ?

Pour voir ce qui vous convient, tous les détails sont sur la page d’accueil du logiciel de musique (elle est accessible aussi en cliquant sur la bannière un peu plus bas). Il y a vraiment de quoi faire avec la version « de base », mais pour ma part, je ne saurais me passer de la version premium. Si vous avez besoin d’un maximum de sons et possibilités, il faut la version premium. Mais si c’est pour une utilisation occasionnelle ou pour offrir (paraît que c’est la période), la version de base est déjà très satisfaisante, rien n’empêche ensuite de passer au premium… ou de prendre l’an prochain Magix Music Maker 2015 Premium. Car, bien sûr, tous vos morceaux sont importables dans les différentes versions de Magix Music Maker.

L’acheter via Music Lodge

Pour l’acheter (ou acheter ce que vous voulez chez Magix), merci de passer par Music Lodge en cliquant sur les bannières d’affiliation (ci-dessous ou en début d'article), vous aurez ainsi droit à une remise de 5% (et moi à une commission) : 

 

(Il est indiqué "Premium" sur la bannière, mais elle vous renvoie à la présentation des 3 versions : normale, premium, ou avec clavier).

 

Je mettrais sans doute une page à disposition où ceux de mes lecteurs qui utilisent Magix pourront faire écouter leurs créations aux autres… et demander des conseils si besoin.

 

[Edit : Concours terminé ! On a les 4 gagnants] Afin de terminer en beauté… 4 logiciels à vous faire gagner ! Un Magix Music Maker 2014, et 3 Magix Music Maker 2013. Pour les 4 premiers commentaires… enfin, pour les 4 premiers qui le veulent, il suffit juste pour l'obtenir de commencer votre commentaire par : « Je le veux ! ». Si je ne mets pas ce concours en évidence et n’en parle qu’en fin d’article, c'est dans le but de l’offrir à des gens vraiment intéressés, qui ont donc pris la peine de lire jusqu’au bout un article sur un logiciel de musique, et de récompenser des lecteurs réguliers, qui seront forcément parmi les premiers à lire cet article. Une fois votre commentaire publié, il n’y a qu’à m’envoyer dans la foulée un mail (cf. contact), et je vous enverrai alors rapidement votre lien de téléchargement et votre code d’activation…

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