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Classements d'albums

28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 20:59

Dans l’évolution des blogs musicaux ces 5 dernières années, ce qui me semble le plus frappant, c’est le passage de discussions autour de « grandes références » du rock à celles, maintenant, sur les toutes dernières nouveautés. De quoi parlait-on principalement sur les blogs rock il y a 5 ans ? Du Velvet, des Who, des Doors, des Beatles, de Led Zep, des Sex Pistols, des Clash, de Joy Division, des Cure etc… mais la donne a changé, on y parle actuellement surtout des sorties les plus récentes, et de nouveaux groupes inconnus de la très grande majorité de la population.

La raison est assez évidente : avec la démocratisation des blogs, leur prise en main relativement simple, beaucoup des grands amateurs de musique se sont tournés vers ce format entre 2004 et 2007 pour partager leur passion. Au début, ils se sont focalisés sur leurs artistes favoris, mais une fois qu’ils ont fait le tour des principaux, ils se sont orientés assez naturellement vers les nouveautés.

 

Pourtant – et heureusement – les blogs musicaux restent assez diversifiés, ce qui m’a amené à réfléchir à une petite typologie, non exhaustive. Ce n’est pas une étude sociologique, ce qui compte n’est pas de savoir qui sont les blogueurs (âge, sexe, profession, niveau d’études, on s’en fout ici), mais comment ils utilisent les blogs.

 

Le rapport à la nouveauté :

 

- Le défricheur. Son blog est essentiellement composé de chroniques de nouveaux albums, et surtout d’albums confidentiels sortis sur de petits labels. Pointu, réservé à d’autres défricheurs et amateurs de musiques hors des sentiers battus, mais pas facile à suivre pour le grand public. Un exemple : Little reviews      

 

- Le gardien du temple. Quasiment à l’opposé du défricheur, lui ne s’attarde que peu sur les toutes dernières sorties et les groupes obscurs, ce qui l’intéresse, ce sont les grandes références. Chroniques d’albums phares de l’histoire du rock, articles sur les grands noms du jazz ou les chefs-d’œuvre du classique, selon son genre de prédilection. Après tout, pourquoi s’arrêter sur des centaines de nouveautés qui seront oubliées dans 3 mois (si ce n’est dans une semaine) alors que le White Album peut s’écouter et se réécouter sans lassitude ?

 

 -  Le blogueur hype. Ce qui l’intéresse, c’est ce qui intéresse. Ce dont tout le monde parle ou, surtout, ce dont tout le monde parlera dans quelques temps. Le nouveau groupe qui monte, le dernier clip qui crée le buzz, les dernières news musicales, voilà ce qui alimente son blog.

 

 -  Le prescripteur de nouveautés. La différence avec le défricheur, c’est qu’il se limite moins aux albums confidentiels, il parle volontiers des groupes plus célèbres et d’albums en vue.   

 

 -  Le polyvalent. Il peut passer de grandes références à des groupes pointus, parler des dernières sorties comme de vieux disques, au gré de ses envies, sans privilégier l’un ou l’autre.     

 

La manière de parler musique :

 

 -  Le subjectif. Il ne prétend pas vous dire ce qui est bien ou pas, mais juste ce qu’il aime. Il utilise volontiers le « je », et n’hésite pas à évoquer des souvenirs personnels liés à telle ou telle musique ou concert. Une démarche que l’on pourrait tout autant considérer comme humble (il ne se prend pas vraiment pour un critique, un journaliste), ou égocentrique (après tout, à travers ses disques, il parle pas mal de lui).

 

 -  Le critique. En général, il publie surtout des chroniques d’albums, dans le style de celles des journalistes (je garde toujours en tête ce que disait justement Ska il y a un moment déjà : il  est un peu dommage que tant de blogs fassent des chroniques comme celles des mags de musique, on a là un format nouveau, pas la peine de l’utiliser pour refaire la même chose que la presse). Mais on peut aussi avoir un point de vue plus critique que personnel sans pour autant imiter les chroniques des magazines…

 

 (La plupart des blogueurs se situent à mon sens dans cet entre-deux, entre le critique et le subjectif)  

 

Types de contenus :

 

- Le multimédia. Les blogs permettent d’intégrer de la musique, des vidéos, autant en profiter ! Playlists, clips, liens streaming… son blog donne souvent plus à écouter qu’à lire.

 

- L’écrivain. A l’inverse, il privilégie le texte. Les liens audio ou vidéo sont plutôt anecdotiques sur son blog, une fois de temps en temps, comme illustration.

 

Sociabilité :

 

- L’individualiste. Il parle de ce qui l’intéresse, qui l’aime le suive. Il passe de temps en temps commenter chez les autres, mais ne cherche pas à créer des « activités de groupe » et peu à y participer.  

 

- Le sociable. Il passe beaucoup de temps à commenter les articles des autres, participe parfois à des blogs collectifs et / ou lance fréquemment des activités communes, jeux, concours… 

 

Fréquence de publication :

 

 -  Le pro. A-t-il une vie à côté, un autre boulot ? On peut se poser la question, tant il alimente son blog. Un article par jour ou presque.

 

 -  Le régulier. Au moins 2 ou 3 articles par semaine.

 

 -  L’hebdo. Environ 1 article par semaine.

 

 -  L’irrégulier. Capable de publier 3 articles en une semaine, puis rien pendant un mois.

 

  -  Le dilettante. Bloguer n’est vraiment pas une de ses activités principales, il publie un billet une fois de temps en temps, en général moins d’un toutes les deux semaines. 

 

Thémes abordés :

 

- Le spécialiste. Il ne se concentre que sur un genre musical, ou une thématique. Voire une thématique dans un genre particulier… Mais un « spécialiste » peut aussi brasser plusieurs genres, par exemple un blogueur qui ne parlerait que d’artistes d’une scène bien délimitée (mettons la scène new-yorkaise, qu’elle soit rock, jazz ou électro).

 

- Le généraliste. Il touche à de nombreux genres musicaux, et, souvent, ne se limite pas à la musique (il traite par exemple aussi de films, séries, livres…)

 

 

J’ai mis un exemple dans la première catégorie… puis j’ai arrêté. Parce que les blogueurs sont susceptibles, j’en aurais forcément oublié, donc je me dis que le mieux serait que chacun le fasse pour lui, que l’on puisse lister ici tous les blogs musicaux qui le souhaitent. En face de chacun de vos blogs, on mettra les caractéristiques (que vous me donnerez dans les commentaires). Quel est le but ? Dégager les grandes tendances du fonctionnement des blogs musicaux.

 

Vous pouvez bien entendu appartenir à plusieurs catégories pour chaque type,  mais essayez d’aller au plus clair et au plus simple (si vous voulez expliquer, argumenter, donnez d’abord les tendances principales, et détaillez dans la suite du commentaire), voici, en exemple, les caractéristiques principales du mien : 

 

Music Lodge : Plutôt polyvalent, mais à dominante gardien du temple / Plutôt critique, mais avec régulièrement du subjectif / Plutôt écrivain, mais avec une bonne dose de multimédia / Sociable / Régulier / Généraliste.

 

Mes confrères (et soeurs) : 

 

 

Tasca Potosina Prescripteur de nouveautés (mais tend à devenir polyvalent) / Critique subjectif / Ecrivain, mais ne résiste pas à l'envie d'intégrer des videos, playlists etc... / Plutôt sociable / A eu une fréquence pro, actuellement hebdomadaire, qui se stabilisera certainement dans le régulier / Généraliste.

 

Blinkinglights : Polyvalent / subjectif / écrivain (mais faisant un effort dès qu'il s'agit de diffuser sa propre musique) / individualiste ne perdant pas la moindre occasion d'être sociable / hebdo régulier / mégagénéraliste spécialiste en Smashing Pumpkins.

 

Jazz, Blues & Co : Polyvalent / subjectif / multimédia / plutôt individualiste / régulier / généraliste

 

Arbobo :  Dominante défricheur / critique / sociable / régulier / plutôt écrivain mais avec une bonne part de multimédia / généraliste.

 

Le Bal des Vauriens : Polyvalent qui prescrit plus qu'il ne défriche / pas assez subjectif / écrivain niveau BEPC et une vidéo, une playlist de temps à autres / discrètement sociable, n'aime pas débattre / hebdo / généraliste

 

Pyroxlehargneu : Polyvalent subjectif, à tendance sociable. Appelé aussi le généraliste dillettante.

 

Little reviews : Défricheur polyvalent - Généraliste de la "pop music" / Critique, débordé par sa subjectivité / Communicateur multimedia / Sociable qui aime et recherche la communication personnalisée / Résolument Pro.

 

Sunalee : Plus ou moins défricheur (avec une tendance prescripteur de nouveautés) / subjectif (je ne parle que des disques que j'aime) / écrivain minimaliste (avec quelques liens audio) / individualiste (mais qui aime boire un verre en compagnie de temps en temps) / hebdomadaire (à tendances irrégulières par moments) / spécialiste (la seule catégorie où je n'ai pas hésité !)

 

Libellus : Gardien du Temple assez polyvalent / plutôt critique / écrivain autant que multimédia / plutôt individualiste / assez régulier / généraliste.

 

Nom de Zeus, fabuleux ! (Sophie) : Totalement polyvalente et ultra subjective (moi ce que j'aime c'est les anecdotes autour de la musique, comment chacun vit la musique) / Multimédia et écrivain le pourcentage de l'un ou de l'autre varie suivant le sujet / Individualiste qui aimerait être plus sociable mais manque de temps / Irrégulière depuis le CP / et généraliste of course. J'écris au gré de mes envies !  

 

 

 

 

 

A vous de jouer !

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15 avril 2011 5 15 /04 /avril /2011 19:36

L’éclectisme des goûts musicaux assez fréquent actuellement doit sans doute beaucoup au net. Pour la simple et bonne raison qu’il permet de découvrir gratuitement, chez soi, en quelques secondes, des genres musicaux vers lesquels on ne se serait pas tourné autrement. Mais le net n’est que ce qu’on en fait, il favorise tout autant les communautarismes, le regroupement d’amateurs de tel ou tel genre musical en petites chapelles. Ce n’est donc pas véritablement le net qui rend les individus « éclectiques », ce besoin d’ouverture, de découverte était déjà présent chez beaucoup, le net ne fait que le faciliter, le rendre plus accessible à tous.

 

Lorsqu’on parle d’éclectisme des goûts musicaux, on pense avant tout en terme de « genres musicaux ». Mais l’éclectisme, ce n’est pas que cela. J’en vois au moins deux autres :

 

- Une forme d’éclectisme postmoderne, on estime que tout se vaut, et on mélange allégrement références pointues et références « bas de gamme ». Ou références élitistes et populaires. Par exemple, le Velvet Underground et Phil Collins pour rester dans le genre pop et rock. Dälek et Kanye West pour le hip-hop. Aphex Twin et David Guetta en électro (mais j’avoue qu’un si grand écart, j’ai du mal à y croire… pourquoi pas Stockhausen et Justin Bieber...)      

 

- Un éclectisme lié aux « émotions » associées à telles ou telles musiques. Si je vous dis

que j’aime Nick Drake comme James Brown, ce qui peut étonner, c’est moins qu’ils appartiennent à deux genres différents que « l’opposition de styles » entre le funk brut, énergique et festif de James Brown d’un côté, et les chansons si mélancoliques, délicates et fragiles de Nick Drake de l’autre.

 

On dit toujours quelque chose de soi par le biais de ses goûts musicaux, notamment – et ce, en particulier à l’adolescence - une image que l’on désire véhiculer. L’adolescence est souvent considérée comme une période où l’on se cherche, je pense que c’est surtout une période où l’on se trouve. Une période où l’on n’arrête pas de se trouver. Les goûts musicaux en sont une bonne illustration. Les ados sont très souvent convaincus que leur genre musical de prédilection est le seul valable, le seul véritablement digne d’intérêt, et leur artiste favori le musicien le plus génial de l’histoire… en vieillissant, ils apprendront la nuance et s’ouvriront plus facilement à d’autres styles et d’autres conceptions de la musique. Enfin, dans le meilleur des cas, celui où l’on s’intéresse vraiment à la musique, sinon, cela donne des individus qui écoutent mollement ce qui passe sur la bande FM ou se recroquevillent sur leurs premières amours. Un « vieillissement musical prématuré », sans passer par la case « adulte », sans ressentir un besoin d’ouverture, d’exploration.

  

L’exemple typique de cette forme de sectarisme adolescent, ou d'exclusivité musicale, c’est le jeune garçon qui a besoin d’affirmer sa virilité, et trouve dans le rock ou le rap des musiques musclées, puissantes, mais ne pourrait rien écouter – si ce n'est en cachette – de plus doux, sensible, de peur de passer pour une « tapette » ou une « gonzesse ». Ou le jeune révolté qui ne peut supporter que des musiques très violentes et sombres… comme si écouter les Beatles ou Mozart allait fissurer cette image de révolte à laquelle il s’accroche, et par laquelle il se définit.

 

Pour devenir véritablement éclectique, il faut pouvoir renoncer à ces images très marquées qui exprimeraient un trait dominant de notre personnalité. Je pourrais difficilement me faire passer pour un rockeur rebelle pur et dur, moi qui suis fana de Chopin, Schubert, Chet Baker, Marissa Nadler ou Matt Elliott. Ni pour un mélomane intransigeant et pointu, puisque j’aime certains trucs pop assez légers. Ni pour un doux rêveur sensible et raffiné, puisque j’adore le Wu-Tang Clan, Public Enemy et les Sex Pistols. Et l’inconditionnel de Beethoven, Chostakovitch, Wagner, Joy Division, Autechre, Portishead et Scott Walker que je suis aura beaucoup de mal à se présenter comme un type « funky »…     

 

Plus on devient éclectique, plus il est difficile d'associer nos goûts à une image, un trait de personnalité bien défini. Mais en, contrepartie, il y a le plaisir de se « surprendre », remettre en cause certains de ses préjugés, et apprécier de se plonger dans des univers musicaux que l’on n’aurait jamais imaginé aimer quelques années auparavant.   

 

Les habitués de ces lieux étant, pour la plupart, assez éclectiques, j’aimerais vraiment savoir en quoi ils ont pu « se surprendre ». Ou, plus simplement : quels sont vos grands écarts musicaux. Vous pouvez ne m’en donner qu’un, celui qui vous semble plus extrême, ou les plus significatifs (oui, Christophe, je sais, c’est une invitation au flood…)

 

Par exemple, certains des miens :

 

-         J’aime Aphex Twin et John Lee Hooker

-         Reign in Blood de Slayer et les Préludes de Debussy (un grand écart musical difficile à battre)

-         Psoriatic de Scott Walker et It don’t mean a Thing de Duke Ellington

-         I like it Like That de Pete C. Rodriguez et la Messe en si mineur de Bach

-         Espers et le Wu-Tang Clan

-         Webern et Queens of the Stone Age

 

L’occasion de vous en faire une petite playlist, complètement schizo, à l’inverse des playlists « d’atmosphère » que j’aime élaborer… ici, le grand écart entre chaque morceau est chaque fois énorme :

  

 

 

 

 

Maintenant, à vous de jouer et de me donner vos "grands écarts musicaux" !

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 20:36

J’ai toujours détesté Facebook. Cette manière qu’ont les gens de s’exhiber en public, d’étaler des choses privées et totalement insignifiantes qui – normalement - devraient n’intéresser personne, me consterne. Sans doute à contre-courant de l’époque, je crois au « pour vivre heureux, vivons caché ».

Le net peut se voir de deux manières différentes. Un lieu d’exhibition où l’on se dévoile aux yeux de tous en imaginant que notre petite personne est suffisamment intéressante pour cela… l’ego-net, en quelque sorte. Et un espace d’expression, où chacun a la possibilité de communiquer et partager de manière anonyme. Un espace d’expression où ce qui compte, ce n’est pas « qui vous êtes », ce n’est pas votre nom, votre profession, vos diplômes, votre couleur de peau, votre apparence, vos relations ; mais seulement ce que vous exprimez. Et c’est à cet Internet que je tiens, c’est dans celui-là que je me reconnais. Opposé au fichage des individus par l’état comme par des entreprises privées, je ne comprendrais jamais comment des gens peuvent accepter de dévoiler publiquement sur Facebook tant de choses qui permettent de les identifier, les cerner... voire les manipuler.

 

Quel rapport avec Jean-François Copé ? J’y viens…

J’ai toujours détesté Facebook… mais je suis curieux. Je me suis donc inscrit sur Facebook, il y a pas loin de deux ans, uniquement pour voir les « fiches » des gens que je connais. Bien entendu, je m’y suis inscrit sous un faux nom – Red Righthand -, sans photos, et avec des réponses totalement imaginaires et fantaisistes (dans le questionnement sur les préférences cinématographiques, littéraires, musicales etc…) Puis je n’y retourne quasiment plus pendant un an. Il y a 6 mois, voyant que Facebook semblait devenir incontournable pour les blogueurs, je décide d’y mettre un peu plus en évidence mon blog. Rien de terrible, je mets juste une photo du blog, un lien… je laisse ça de côté une semaine, j’y reviens juste pour une toute petite chose : ajouter un ami. Je comptais refuser toute demande d’amis – même de « vrais » amis – et n’en avoir qu’un seul : Xavier Bertrand. Un rien m’amuse… j’aimais beaucoup l’idée : 

 

Red Righthand a 1 ami :

 

  

Malheureusement, impossible de le demander comme « ami » (comme quoi, il n’est pas si sympa que ça). Je me rabats donc sur mon 2° choix : 

 

Red Righthand a 1 ami

 

  

    

Là, c’était possible, je fais ma demande, je ne reviens que deux jours plus tard, et, surprise : mon profil Facebook a été désactivé. Tout ce que j’y avais mis (pas grand-chose, en fait), a été supprimé. La raison ?

 

Les comptes établis sous un faux nom ou un faux prétexte enfreignent notre Déclaration des droits et responsabilités.

 

 

Un profil valide pendant 1 an et demi, je fais une demande d’ami à Jean-François Copé (je savais que j’aurais mieux fait de demander à Balladur), et le voilà supprimé dans les deux jours. De là à imaginer que c’est Copé lui-même qui en est responsable, que je subis la censure de l’état, et qu’il me faille demander l’asile politique en Libye, il y a un pas que je ne franchirais pas… mais c’est tout de même curieux. Et qui leur dit que Red Rightand n’était pas mon vrai nom, après tout ? Mais bon, j’ai compris la leçon, je me suis réinscrit sous mon vrai nom… John Coltrane (pas la peine de perdre votre temps à m’y trouver, il n’y a aucune info personnelle sur mon profil). Et cette fois, pas de censure.

 

Pourquoi vous raconter tout ça ? Je ne connais rien à Facebook… mais si vous en savez plus et avez une idée de comment ils peuvent vérifier les profils et en supprimer – si ça se fait par « délation » - merci de m’éclairer sur la question. C’est l’occasion aussi de vous présenter le Facebook « Classement des Blogueurs » fait par Christophe… et d’avoir votre avis sur l’utilité – ou pas – de Facebook lorsque l’on a un blog. Parce que je n’arrive toujours pas à piger ce que ça peut vraiment apporter…   

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