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2 mai 2008 5 02 /05 /mai /2008 22:50

Tout a commencé avec Hendrix... ce fabuleux musicien à la sensualité débridée, qui faisait corps avec sa guitare comme personne avant lui,  dont les doigts agiles montaient et descendaient avec une folle dextérité sur son gros manche, ce qui mettait toute la jeunesse de l'époque en transe. Ses deux titres emblématiques resteront le magnifique "Hey Joe", écrite pour son compagnon, et Purple Haze avec son fameux message crypto-gay (mais pas si crypté pour qui sait écouter), "s'cuse me, while I kiss the sky" qu'il prononce en fait "s'cuse me, while I kiss this guy", rendez-vous en compte par vous même :

Jimi Hendrix - Purple Haze

A peu près dans le même temps, l'autre groupe à l'origine du hard sera Led Zeppelin, mené par le couple sulfureux Robert "boucles d'or" Plant - Jimmy Page. L'ange blond et le guitariste ténébreux, qui - à la ville comme à la scène - étaient en parfaite osmose, les entrelacs de cris orgasmiques suraigus de Plant et de solos de Page resteront dans les annales du hard.

L'ange blond, Robert Plant, qui ferait passer dans la vidéo suivante Lennon et McCartney pour deux bluesmen rugueux, ou deux bucherons du grand nord :







L'ange blond et Jimmy Page, qui en a fait rêver plus d'un avec son double-manche :

 

























lls frappent un grand coup dès leur premier album, à la pochette qui a fait pas mal jaser pour cet énorme symbole phallique :

 















C'est avec eux que naît une des branches les plus radicales du "hard", branche qui ne fera pas l'unanimité dans leur communauté, puisqu'ils revendiquent ouvertement une haine des femmes, allant jusqu'à proclamer dans Dazed and Confused, au moment paroxystique, "Soul of a women was created below"... ces femmes, créatures de l'enfer, créatures malsaines, vénales, qui pensent gagner leur place au paradis en payant ("she's buying a stairway to heaven")

Led Zeppelin - Dazed and Confused


Hendrix et Led Zep ont posé les bases, et fasciné toute une génération de jeunes mâles : chevelure très longue et féminine, androgynie (Plant), couleurs chatoyantes, jeans moulants, guitariste qui n'est plus un simple accompagnateur mais le "heros" du show, excitant les jeunes hommes venus admirer ce gros engin qu'il manipule avec virtuosité dans des poses provoquantes... le hard est enfin né, on sort du placard, on n'a plus honte d'affirmer ses choix, son identité... mouvement qui ne pouvait naître en d'autres temps que dans ces années 67-68. 

Aux côtés de Led Zeppelin apparaîtront deux groupes phares du hard : Deep Purple et Black Sabbath, qui donneront naissance à des courants majeurs du genre. 

Deep Purple doit beaucoup à Hendrix. Son nom, déjà, référence à "Purple Haze", morceau emblématique dans lequel beaucoup se sont reconnus pour la phrase citée en début d'article, mais aussi la mise en avant de la virtuosité. Sauf que, contrairement à Hendrix dont la virtuosité est toujours au service d'une grande intensité orgasmique et reste profondément ancré dans le blues, ils ouvriront la boite de Pandore en cultivant un certain goût pour le kitsch (mélange rock-classique pas toujours de très bon goût, mais pas aussi grotesques que leurs suiveurs) et l'exhibition technique parfois gratuite. Ils restent capables de pondre de bons morceaux rock - tel "Speed King" écrit en hommage à l'un des amants de Ritchie "Black Amore" Blackmore - mais n'évitent pas quelques dérives qui donneront naissance à beaucoup des "grandes folles exhibitionnistes" du hard, Yngwie " la Sweedish Diva" Malmsteen en tête. A noter aussi que Ritchie Blackmore fondera "Rainbow" - les couleurs de l'arc en ciel sont un des symboles de la communauté gay - en 1975.

Black Sabbath, de son côté, va - comme son nom l'indique - développer un univers plus sombre, flirtant avec le satanisme, qui deviendra un des thèmes majeurs du metal. Pourquoi le satanisme ? Pour deux raisons :
1. Les espoirs nés du flower power sont vite retombés pour beaucoup de jeunes de l'époque, qui voyaient bien que rien ne changeait vraiment, que leurs parents et la société n'acceptaient pas leur "différence". On les rejette, on leur dit que leurs inclinations sexuelles sont "mal", on les culpabilise... soit. Ils vont "exorciser" le poids insoutenable de la culpabilité en jouant les "démons de l'enfer".
2. Le satanisme, c'est le renversement des valeurs judéo-chrétiennes, des impératifs moraux, des normes sexuelles... il s'accompagne souvent d'une sexualité débridée, où toutes les expériences non-conformes aux bonnes moeurs sont valorisées.

Cela donnera le "grand-guignol glam-sataniste", avec les créatures ambiguës que sont Alice Cooper et Marilyn Manson, et le satanisme plus radical des "honteuses" Slayer, puis ceux du Death Metal et, surtout, du Black Metal (dans les 90's). A côté des "grandes folles" colorées, flashy, décomplexées et glam-kitsch dont les médias sont friands, se développeront, de manière plus underground les "grandes folles de l'enfer" du Black Metal aux tenues fantasques et maquillages outranciers, qui, elles, sont coincées entre leur désir d'exhib et d'expression de leur identité, et le poids de cette culpabilité qui les ronge :

 

























Une chanson qui en dit long... Poison d'Alice Cooper, où "Alice" exprime son incapacité à vivre une relation physique avec une femme. Sa volonté, conditionnée par les injonctions de la société, le pousse vers les femmes, mais rien à faire, on ne peut aller contre sa nature et ses pulsions, le contact physique avec une femme le rebute. Double allégorie, le "Poison" étant à la fois l'effet physique provoqué par le toucher d'une femme, et les injonctions morales qui briment sa nature : 

I want to love you but I better not
Touch (dont touch)
I want to hold you but my senses
Tell me to stop
[...]
I want to taste you but your lips
Are venomous poison
You're poison running through my
Veins


Alice Cooper - Poison


Un mot sur les essentiels AC/DC, qui ont fait beaucoup pour avancer "la cause". Un nom qui annonce la couleur, puisqu'en argot il signifie "à voile et à vapeur" (bissexuel), un guitariste jouant les "écoliers pervers" et se baladant volontiers cul-nu sur scène, et un chanteur... qui a fait son coming-out à la télé dans la vidéo suivante, travesti comme il aimait tant le faire au quotidien :
  
AC/DC - Baby Please don't Go

Dans les années 70, le hard aura une rude concurrence comme "porte-drapeau" de la communauté gay, avec le glam-rock, tout d'abord, puis le disco. Mais il saura à chaque fois rebondir, aller plus loin dans l'excentricité, et s'imposer comme le seul genre musical "durable" représentatif de sa communauté. Lorsque le glam débarque, le hard contre-attaque avec Alice Cooper et Queen, et face à la déferlante disco, il jouera la carte KISS, groupe à faire passer le look disco pour celui de mornes "hétéro-beaufs" :

KISS - I was made for loving You : le mariage du hard et du disco.


Aux côtés de la fascination pour le kitsch et un certain mauvais goût revendiqués par la communauté gay - une manière de se défendre des attaques à son endroit en poussant à l'excès ce pour quoi on la rejette ("puisque vous trouvez que nos préférences sexuelles sont de mauvais goût, nous cultiverons ce mauvais goût") - codes qui deviendront un signe de reconnaissance, va se développer une esthétique de la "virilité surjouée". L'exemple le plus connu du grand public est bien sûr celui des Village People, mais le hard ne sera pas en reste et saura surfer sur cette vague. Avec Lemmy, qui souhaitait intégrer les Village People et tenir le rôle du motard... il passera les castings, mais se fera chiper la place, ce qui lui reste d'ailleurs toujours en travers de la gorge. Il devra se contenter, avec Motörhead, d'une version plus trash et crasseuse des Village People.

Photo de Lemmy - excité comme une puce - prise juste avant son casting chez les Village People :


















Dans la surenchère de virilité surjouée et de mauvais goût, le hard a trouvé ses maîtres dans les années 80 en la personne de Manowar, les "Village People de l'âge de pierre" :


 


Manowar, du "Gay Power Metal", sous-genre du heavy-metal qui, fin 70's début 80's, sera représenté par :

"La vierge de Fer", Iron Maiden, mélange de kitsch coloré et de grand-guignol de série B d'horreur.

Leur premier chanteur, Paul Di'Anno sera viré pour Bruce Dickinson, seulement choisi parce que son nom amusait ceux des autres musiciens dont le goût douteux ne se limitait donc pas seulement à la musique et aux fringues.

 


Bruce Dickinson qui d'ailleurs reprendra dans son premier album solo "All the young Dudes" de Bowie...

Judas Priest, qui popularise le "total-look SM", surtout via son leader, Rob Halford. Personnage emblématique du Metal, dans lequel se reconnaissent l'essentiel des fans de hard, qui l'ont déifié et surnommé le "Metal God". Il a révélé publiquement en 1998 son homosexualité alors que la plupart de ses confrères, très "chochottes", préfèrent garder un semblant de mystère qui pourtant ne trompe personne. Halford collaborera aussi avec son compagnon, Trent Reznor, sur le projet 2wo... les deux forment un couple sulfureux depuis longtemps, même si les infidélités de Reznor avec Marilyn Manson ont failli avoir raison maintes fois de leur relation.   


















"The Metal God"


Judas Priest - Touch of Evil


Autre groupe qui ne laisse pas vraiment planer de doute, les teutons d'Accept (pas la peine de chercher bien loin pour savoir ce qu'ils demandent "d'accepter") et leur fameux hymne gay, Balls To The Walls :

Accept - Balls To The Walls

Le plus célèbre groupe allemand de hard, Scorpions, dépassera les limites du bon goût... certes comme tout groupe de hard qui se respecte, par sa musique et son look, mais c'est surtout la pochette zoophile d'Animal Magnetism qui créera scandale :



















A noter que dans les 90's, le "flambeau" du metal allemand sera repris par Rammstein, surnommés par les mauvaises langues les "Village People Nazis" :

















En réaction contre la morbidité de nombreux groupes metal, les californiens de Van Halen vont proposer un hard plus "ensoleillé, fun et flashy". L'insouciance californienne, où les préférences sexuelles des uns et des autres sont bien mieux tolérées qu'ailleurs. Décomplexé, le couple Eddie Van Halen - David Lee Roth l'était. Avec Van Halen, la guitare - symbole phallique fétichisé par des légions de jeunes mâles depuis les origines du hard - s'émancipe totalement, elle devient objet de culte, vénérée pour elle-même sans avoir à s'entourer d'autres musiciens dans ce morceau fondateur, Eruption, dont le nom est une allusion qui n'a rien de subtil. Une "éjaculation de notes" qui fera malheureusement école auprès de ceux qu'on baptisera "guitar-heroes" dans le metal, style plus pertinemment nommé "branlette" dans le milieu rock :

Eddie Van Halen - Eruption   

Le couple Van Halen - David Lee Roth, en bon couple californien, est un couple libre. Dave laisse Ed s'amuser tout seul sur son manche, pendant qu'il va jouer les Zaza Napoli dans sa célèbre reprise de Just a Gigolo, clip où transparaît toute la décomplexion gay californienne, Dave arborant des looks plus excentriques les uns que les autres, faisant passer Boy George (présent dans le clip sous la forme d'un sosie) pour un modèle de sobriété et d'élégance discète :  

David Lee Roth - Just a Gigolo/I ain't got nobody :


Chouette reprise, ceci-dit... et si vous n'avez jamais vu le clip, il vaut le coup d'oeil...

Le glam-metal ira encore plus loin, avec Mötley Crüe, W.A.S.P. ou la folle tordue des "Twisted Sister" :

 























Mais toute cette exhubérance des "grandes folles du hard" agace un peu le milieu rock, pas toujours très ouvert d'esprit sur ces questions. En réaction apparaîtront des groupes rock sans fards et limites homophobes dans les années 80, tels les "hétéro-beaufs" The Smiths et leur fameux "The Queen is Dead", un de leurs "slogans", qui a fortement déplu à la communauté gay, le prenant comme une provocation :

The Smiths - The Queen is Dead

Les images parlent d'elles-mêmes, d'un côté les drag-queens de Mötley Crüe, de l'autre, la virilité tranquille de Morrissey :

 

 

motley crue

null 


Le message a été reçu par certains, qui refusent - pour des raisons diverses, d'ailleurs - cet étalage et cette surenchère. Le syndrome "cage aux folles" touche le hard depuis trop longtemps, et beaucoup de jeunes gays ne se retrouvent plus dans ce genre qui en fait beaucoup trop dans les paillettes, le kitsch ou le pompeux. C'est ainsi qu'apparaît le thrash, plus direct, moins fantasque dans le look, et plus en prise avec les "souffrances et la révolte" de sa communauté (toujours stigmatisée malgré une certaine évolution des moeurs). Le groupe qui va fédérer la communauté hard sera Metallica. 
James Hetfield, le leader charismatique a fondé le groupe avec Lars Ullrich (batteur) et a très rapidement intégré son compagnon, Dave Mustaine. Mais l'idylle entre James et Dave ne résistera pas à la difficile vie de groupe... la rupture sera consommée lorsque Dave surprendra James au lit avec un jeune et joli guitariste métis, Kirk. Fou de rage, Dave claque la porte et décide de fonder son propre groupe. C'est ainsi que Dave choisira un nom de groupe commençant par les mêmes deux premières lettres, mais dont la 3° est devant dans l'alphabet, pour faire de l'ombre dans les bacs à Metallica et se venger de celui qui l'a trompé. Mal lui en a pris, la jalousie est bien mauvaise conseillère, puisqu'il optera sans réfléchir pour un des noms de groupe les plus ridicules (pourtant, dans le hard il y a une forte concurrence à ce niveau) : Megadeth.

Notez aussi que Kirk a quitté James pour Lars, les deux filent le parfait amour et ne le cachent pas :

metallica.png

James, lui, saura toujours rester assez discret sur sa vie privée, mais il n'en écrira pas moins un des hymnes gays les plus touchants du hard. Sur une vraie musique de midinette, il révèle avec beaucoup de délicatesse et de douceur les atermoiements de son petit coeur sensible. Il s'agit bien entendu du fameux Nothing Else Matters, où Hetfield fait enfin publiquement son coming-out, d'une manière ô combien poignante. Chanson qui deviendra, donc, un hymne pour tous les jeunes gays de l'époque, rarement ont été aussi bien traduits leurs sentiments et aspirations que dans ce texte éloquent :

So close, no matter how far
Couldn't be much more from the heart
Forever trusting who we are
And nothing else matters

Never opened myself this way
Life is ours, we live it our way
All these words I don't just say
And nothing else matters

Trust I seek and I find in you
Every day for us something new
Open mind for a different view
And nothing else matters

Never cared for what they do
Never cared for what they know
But I know...

So close, no matter how far
Couldn't be much more from the heart
Forever trusting who we are
And nothing else matters

Never cared for what they say
Never cared for games they play
Never cared for what they do
Never cared for what they know
And I know...

Metallica - Nothing Else Matters


Qui d'autre que James Hetfield pouvait saisir avec autant de justesse et de sensibilité les sentiments des jeunes gays de son temps !
Coup de maître, puisque James faisait ainsi taire les quelques-uns qui dans la communauté traitaient les membres de Metallica de "honteuses" qui n'assumaient pas.

Les "power-ballads", fondamentales dans l'hisoire du hard, moments où les groupes dévoilent leurs petits coeurs sensibles et leur goût pour les sucreries écoeurantes.

Il y aurait tant de choses à dire sur la suite... mais par manque de temps, je vais aller un peu plus vite, et lister les autres styles et groupes importants :   

Le speed metal et ses voix de castrats à faire passer Brett Anderson pour Tom Waits.

Les bien-nommés "Sodom", grands amateurs d'hommes en uniforme, avec leur fameux hymne :
Fuck the Police.

Le "progressive-metal" (dont les fers de lance sont Dream Theater) plus communément appelé "chochotte-metal". On vire le hard de tous les poils qui dépassent, on lisse, on peaufine, on se lance dans de longues démonstrations techniques de premiers de la classe, croyant obtenir ainsi une certaine respectabilité auprès de la société... malgré quelques allusions suggestives dans les titres (Dream Theater - Pull Me Under), l'exhib technique ou de vraies ballades de midinettes, on tente de ne pas trop tomber dans les clichés "cage aux folles" du hard. Mais c'est d'un ennui monumental.

- Le death metal, fin des années 80... toujours en phase avec son époque, le metal, par le "death" va exprimer les peurs, angoisses des années sida. Ce fléau traumatise toute la communauté gay, pour laquelle amour et mort deviennent concrètement liés, ce qui explique l'émergence et le succès du death auprès d'une communauté qui n'avait plus de gay que le nom.

- Skid Row : groupe de hard qui a connu un beau succès dans les années 80-90, grâce à son chanteur, Sébastian Bach (sic), bel éphèbe blondinet qui a fait rêver toute la communauté hard. De Slash à Kerry King (Kerry Queen, pour les intimes...) en passant par Joe "The Toxic Queer" Perry, nombreux sont les guitaristes tombés sous son charme, qui ont affirmé être prêts à tout quitter pour lui, et l'accompagner à la ville comme à la scène. Mais il a chaque fois décliné, ce qui aurait suscité de nombreuses rumeurs qui ont fait frémir la communauté hard, rumeurs sur sa prétendue hétérosexualité. Il semblerait maintenant que ces rumeurs ont été lancés à l'époque par Axl Rose, profondément jaloux du beau Sebastian.  









Skid Row - Youth Gone Wild













- Sepultura, des travelos brésiliennes reconverties dans le thrash. 

- Le gothico-lyrico-metal : un des genres les plus populaires (et ridicules) actuellement. Il y a toujours eu une fascination dans la communauté gay pour les divas (ce qui rejoint le goût pour le kitsch). Fascination pour les divas d'opéra chez les gays cultivés issus de l'élite, pour les divas de la variét' (Dalida, Madonna, Gloria Gaynor...) chez les gays des couches plus populaires, et des divas du gothico-lyrique-metal chez les jeunes gays dont la culture se limite à l'héroïc-fantasy, trop peu instruits pour l'opéra. Nightwish, Evanescence, Within temptation, Tristania... des "groupes à chanteuses", et des chanteuses qui en font des tonnes dans le registre soupe-lyrico-kitsch :

Nightwish - End of All Hope    

 



Within Temptation



A moi de faire mon coming-out... le gothico-lyrico-metal est sans doute le genre que je déteste le plus, il réunit tout ce que je ne supporte pas : démonstrations techniques, lissage variétoche, niaiserie, kitcherie, boursouflures, gothique de supermarché... et pourtant, je trouve le refrain de la chanson suivante assez chouette (j'aime bien l'harmonie vocale à 2 voix de la chanteuse), et le reste de la chanson pas inécoutable (mais rassurez-vous, j'ai honte...) :

Tristania - Mercyside

- Le meilleur pour la fin : Queens of the Stone Age. Sûrement ce qu'il y a de plus intéressant actuellement dans le hard. Un nom qui annonce la couleur, les "Queens" menées par Josh "Homme" (ça ne s'invente pas...), affichent fièrement leurs inclinations. La vidéo suivante vous permettra de mieux comprendre pourquoi "Homme" est devenu une icône gay : voix haut-perchée, moues sexy, petite chemisette rose, et, surtout, son fameux déhanché sensuel :

QOTSA - First it Giveth

Certains seront déçus de voir que dans cette vidéo, Nick "les vêtements, moins j'en porte, mieux je me porte" Olivieri a bizarrement gardé le bas.   

Cet article vous aura peut-être décontenancé - voire consterné - (pour ceux qui sont allés jusqu'au bout), alors quelques explications... Ce n'est en fait qu'une (très longue) private joke. Tout part d'un mail à Thom où je lance une bête blague sur les inclinations de James Hetfield, précisant qu'il faudrait penser écrire la "véritable histoire du metal"... il me répond hier en plaisantant : "chiche !"... et voilà. Tout ça pour quoi ? Parce que je jubile à imaginer la tête de Thom qui débarque sur mon blog et voit que je l'ai pris au pied de la lettre. En plus dans un article interminable, avec photos, vidéos... (oui, je sais, tout ça pour ça, je suis un grand gamin...)

De plus... le milieu hard a beau être divers et varié - et prôner pour une partie des valeurs de liberté et de transgression - il compte aussi un certain nombre de réacs homophobes (ce qui est aussi paradoxal que des homophobes fanas d'Elton John et des Scissor Sisters). Savoir qu'en tapant "histoire du hard" il y en a qui tomberont sur cet article, j'avoue que l'idée m'amuse pas mal... 

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commentaires

C
<br /> ;)<br />
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G
<br /> CHRISTOPHE : C'est très bon, très drôle, mais je trouve qu'il y a plus de Christophe que de moi-même là-dedans^^ (disons que<br /> ç'aurait pu être moi pour le choix du sujet - parce que j'ai écouté plusieurs de ces merdes à la fin des années 80 - et je ne me le pardonne toujours pas^^ - et toi pour les métaphores et<br /> comparaisons parfois vraiment bien trouvées...)<br />
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C
<br /> Y a du Gitou là d'dans<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://noisey.vice.com/fr/blog/le-guide-noisey-du-hair-metal<br />
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G
<br /> CHRISTOPHE : Black Sabbath Mater, j'adore ^^<br />
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C
<br /> Les experts Woodstock<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Sinon que penses-tu de Black Sabbath Mater ?<br />
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C
<br /> leboncoin.fr<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Sinon que penses-tu de Guns & Stone Roses ?<br />
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C
<br /> Eh beh mon père, il s'y connait mieux que le tien en hard rock<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Sinon que penses-tu de Bon Jovi Joba ?<br />
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C
<br /> Deus ex metallica<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Sinon que penses-tu de Van der Graf Halenator ?<br />
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C
<br /> Musicologue AAA<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Sinon que penses-tu de Eagles of Death Metallica ?<br />
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C
<br /> Darth Gitou<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Sinon que penses-tu de Deep Purple Rain ?<br />
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C
<br /> Le pro du pot<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Sinon que penses-tu de Queens of Leon Stone Age ?<br />
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C
<br /> Les experts Bayreuth<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Sinon que penses-tu de Alice Cooper in chains ?<br />
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G
<br /> PIETRO : Alice Cooper ? Bof... je vois pas trop quoi en dire de plus...<br />
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P
<br /> Et Alice Cooper, tu en penses quoi G.T.?<br />
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P
<br /> <br /> Bonjour G.T,<br /> <br /> <br /> Tu parles de QOTSA. J'aimerai savoir ce que tu penses de Kyuss.<br /> <br /> <br /> <br />
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G
NOLENDIL : merci à toi... et savoir rester un "grand gamin", passer du temps pour concocter un article qui n'est qu'une grosse farce, je sais pas trop si ça sert, mais c'est marrant (donc oui, ça sert...)Somewhere over the rainbow ? oui, même si c'est moins "gay-friendly" que "balls to the walls" ou "nothing else matters" :-)
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N
Merci beaucoup pour cette article très intéressant et bien illustré par moult morceaux.Comme quoi, être un grand gamin peu servir :pJ'aime bien aussi "Somewhere over the Rainbow"...
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G
DAVID : Pas de problèmes... lire trop vite et en diagonale sur les blogs, on connait tous ça :-)Alice Cooper et le Black Metal... bien sûr, ce n'est pas du tout la même chose... mais il y a un même goût pour le maquillage et le décorum de séries B d'horreur... Bonne journée et merci de votre visite !
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D
Exact, exact. Cela m'apprendra  à lire trop vite et en diagonale. Pour les photos, je plaide la culpabilité d'un de mes navigateurs : ce c... n'affiche plus les images (très pratique).Avec Safari, tout va bien. J'ai donc pu apprécié la belle photo d'Immortal.Cependant, je n'aurais pas mélangé le black metal avec Cooper. Mais c'est votre article.Amitiés. 
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G
DAVID MARTIN : Vous avez loupé un morceau, j'évoque aussi le Black Metal ! (il y a même des photos...)
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D
Amusant mais un peu léger quand même. Et vous avez oublié le black metal , j'ai l'impression. Pourtant des hommes qui se maquillent auraient pu vous inspirer ?
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G
SKA : Si si, tu as parfaitement compris :-)D'ailleurs, je regrette de ne pas l'avoir trouvé celle-là : Motorhead, le side-project des Village People, c'est excellent !
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S
Alors, quoi, Motorhead c'est donc le side-project des Village People ?Je comprends plus rien, moi... :-)
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G
JDM : quand on a rien à dire, on a encore quelque chose à vendre.Celle-là est vraiment excellente... chapeau ! L'aphorimse de de l'année !
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J
Fabrice, il y avait une ambiguïté dans ton commentaire, elle est levée.Quant à moi, je pourrais préciser ce que j'entends par "démonter la mécanique", est-ce que cela en vaut la peine ?Vive GT, aventurier, spéléologue, Indiana Jones de la fosse à m...G.T., nooon, ne bouge pas, ne saute pas, la cellule psychochose arrive ! et puis dans la fosse, il n'y a plus que des T-shirts et du e-market - quand on a rien à dire, on a encore quelque chose à vendre.
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G
THOM : Ce G.T. là ? il a bien heureusement arrêté le LSD au petit déjeuner :-)FABRICE : Je suis pas allé sur MnR depuis sans doute plus d'un an... mais si ça me vaut d'être découvert par des lecteurs aussi sympathiques, je crois que je vais y refaire un tour :-)
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F
<br /> GT: merci pour ton message    :)JDM: Un point commun entre toi et moi : j'ai découvert  le site de GT par MnR  que tu juges bien hativement comme sérieux et susceptible (tant de commentaires de détracteurs -et bien écrit- sont restés donc l'histoire de la modération me paraît étrange...…).  Peut-on dire alors quel site a le plus "besoin" de l'autre (car j'imagine qu'on ne doit  pas être les seuls à avoir découvert art-rock par l'entremise de M&R, tu ne crois pas ? donc un point pour MetR  :p ).<br /> <br />  en tout cas, bonne continuation à toi (sinon, pour info, je ne suis ni Louis, ni François, ni Ptysik, ni rien, tout au plus un type qui aime parler de temps à autre des blogs qu'il apprécie & a suivi... sur des blogs qu'il apprécie & a suivi aussi...  rien de plus   ;)   )<br /> <br />  <br />
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T
Comment ça tu ne cèderas pas ? T'es coincé ou quoi ? Qu'est-devenu le G.T. que j'aimais, celui qui caressait sensuellement son manche de guitare sous ma fenêtre, quand il passait chaque soir m'interprêter une petite ritournelle de Dream Theater ?
Répondre
G
CHRISTIAN : J'ai aussi beaucoup aimé celle-là ! :-)THOM : Rien à faire, je ne céderai pas ! FABRICE : Pas de problèmes, c'est vrai que, comme je l'imaginais, ça a du en étonner certains... et plusieurs ont avoué y avoir cru pendant un moment ! Je le précise pour que tu te sentes moins seul ;-)Sinon... merci pour le compliment et à bientôt !JDM : M'n'R, ça ne vaut pas le voyage, même en stop.Là, tout est dit, non ? :-)
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J
Merci, Fabrice, ou Ptisik (Phtysik ?) ou faut-il dire 'François Louis ? de cette promo dont M'n'R a bien besoin.Merci parce que je me suis bien amusé sur le chose pendant quelques semaines jusqu'à ce que je dévoile la supercherie à François (ou comme on voudra) qui ne l'a pas bien pris. Je confirme donc que le site est très sérieux, voire grave et un brin susceptible. J'ai été immédiatement censuré, presque en temps réel, puis, étais-je vraiment si dangereux ? les commentaires sont devenus "modérés".J'ai continué à jouer pendant quelques semaines avec une douzaine de pseudo et des coms comme on les aime là-bas.Je ne donnerai qu'un exemple (faites vite, tout va disparaître) : il y a eu "un certain" (c'était le pseudo), il faisait toujours deux commentaires de suite, manière "com 1 : peut-etre" "com 2 : pas sur" (il ne mettait pas d'accent en général parce qu'il n'était pas "sur" de son orthographe... une galerie perdue dans les abysses des coms.Ce qui n'est pas perdu, c'est que j'ai rencontré GT dans cette fosse, puis d'autres à partir de là.GT passait bien. Il disait être en accord ou en désaccord, mais il n'a jamais cherché à démonter la mécanique.D'autres, grossiers personnages insultants, passaient bien. "Ouais merdorateur t encor pus con que le con que tu dis il e con", ça ne mange pas de pain.L'ennui avec les premiers personnages de jdm, c'est qu'ils écrivaient (à peu près) correctement et que leur discours, même teinté d'humour, était (à peu près) argumenté.Tout franchement, il me semble qu'il sera reconnu sans trop de peine ici et sur quelques autres coins de la toile que mes propos sont nuancés, peut-être même courtois.Pour une fois...M'n'R, ça ne vaut pas le voyage, même en stop.
Répondre
F
oulah, autant pour moi, je n'avais pas saisi l'ironie   :D (ce qui annule tout le bête PS que j'ai posté, honte à moi)en fait (pour me justifier  :p)  je n'étais pas trop habitué à une ironie de ce style dans tes pages - que je lis de temps à autres avec toujours le même plaisir. bonne continuation à toi, GT.PS: héhé, on va dire à chacun son tour de se tromper et de prendre les choses au sérieux quand il ne le faut pas (comme par exemple sur le blog merdeetremerde qui font... une autre forme de n'importe quoi...  de "grotesque" même...  ;)   )
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J
erratum : il faut lire golb et non blog - on aura rectifié.
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J
Christian, j'aime bien les compliments, combien de fois ai-je dit que je n'étais pas original ! ça en devient original.Quand le compliment vient d'un "éclairé" et non pas d'un "allumé", voir infra, c'est encore mieux.Thom,dans la grande majorité de ses chansons il cause...de filles, s'adresse à des filles imaginaires...etc.Luis Mariano aussi et, lui (qui était normal, il n'avait pas de blog), il était très gentil avec tout le monde et on doit commencer à savoir que je parle de ce que je connais ou de ceux que j'ai connus (très chastement, Luis Mariano était très fidèle à son compagnon).
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C
"le christianisme s'est développé, notamment et anecdotiquement, dans des catacombes et, dans le pays fondateur de l'Eglise romaine, on ne saurait vivre sans économie souterraine"C'est beau comme du jdm.
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T
THOM : Arrête !!! :-)G.T. est un dégonflé-é ! G.T. est un dégonflé-é ! G.T. est un dégonflé-é ! G.T. est un dégonflé-é !Morrissey pourrait d'autant plus passer pour un hétéro pur et dur que dans la grande majorité de ses chansons il cause...de filles, s'adresse à des filles imaginaires...etc.
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G
JDM : Excellent... :-)Et j'adore ce "Comme c'est secret et que je suis discret, je n'ai jamais regardé"...FABRICE : Euh... il y a une chose qui t'a échappé... les Smiths, c'est bien entendu une plaisanterie (comme la moitié du reste, d'ailleurs...) Tout comme je fais passer le hard et le metal - genres normalement peu "gay-friendly" malgré leur décorum et déguisements très "grandes folles" - pour un style 100% gay, je prends les Smiths comme modèle de groupe hétéro et viril... le pire, c'est que ça marche, quelque part, Morrissey à côté de Môtley Crüe et d'autres fait vraiment figure d'hétéro pur et dur... bref, tout ça, c'est un grand n'importe quoi :-)Turbonegro, j'ai découvert ça il y a peu... c'est vrai qu'ils auraient eu leur place ici, mais bon, j'ai fait déjà suffisamment long, je crois :-)A bientôt ! 
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F
analyse et vision des choses assez intéressantes.. Tu aurais pu aussi citer parmi les rois du déguisement queer et de mauvais goût les indépassables NY Dolls ou bien les norvégiens Turbonegro (bien le bonjour à tous les Turbojugend qui nous lisent  :) ). & pour avoir un échantillon de leur potentiel : http://www.youtube.com/watch?v=LaKwvKw29jI&feature=related (car les turbonegro, au delà du look de village people discutable & hilarant, c'est toujours du haut de gamme, à commencer par leur tube 'Rock against ass', un hymne punk, rock & heavy metal en puissance à écouter en boucle).bonne continuation & merci, GTPS: The Smiths, en emblème de groupe viril et homophobe ??? as-tu déjà vu Morrisey danser ou se comporter en concert (avec ce jet de glaieul du public vers le chanteur, telle une mariée...)? The Smiths -à mes yeux l'un des meilleurs groupes des années 80, l'un de ceux qui se bonnifient le mieux- n'était pas à mon sens l'exemple à choisir  ;) (à la rigueur ce serait plus sur le côté raciste du leader Morrissey qu'il faudrait se poser des questions, mais là, c'est un autre débat...)
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J
Oui, on arrête !Sur la théologie des Psaumes, il y a vraiment une page "Archives secrètes" sur le site officiel du Vaticanhttp://www.vatican.va/phome_fr.htmComme c'est secret et que je suis discret, je n'ai jamais regardé.[non, il n'y a rien sur la mort naturelle de Jean-Paul Ier, on trouvera ailleurs des informations essentielles sur l'allergie à la camomille du soir chez l'homme (encore) jeune et en bonne santé, futile le Pape][[le christianisme s'est développé, notamment et anecdotiquement, dans des catacombes et, dans le pays fondateur de l'Eglise romaine, on ne saurait vivre sans économie souterraine]][[[rappelons que jdm n'est affilié à aucune secte athéiste - il est un des plus fidèles 'fidèles' du Révérend Tom Frost, un intégriste de bonne foi, jdm n'est pas raciste, il n'est pas non plus anti-raciste, parce que c'est pareil, ça consiste seulement à dire "oui..., il y a des races..., mais... il faut quand même respecter ceux qui ne sont pas encore descendus de l'arbre - en clair, le concept de race n'a aucun fondement scientifique et bien malin qui pourrait définir ce pseudo-concept, reprenons, les athéistes affirment Dieu, comme les croyants, simplement (c'est là qu'on va comprendre le détour par le 'racisme') ils n'en veulent pas --- résumons : des charters pour les nègres, la barque de Charon pour Dieu]]]Pétain ! dire que je pourrais écrire toutes ces belles choses chez moi !Oui, d'accord, ici, il y a des lecteurs.Pour "la folle histoire etc.", qu'on ne vienne pas tirer un sac sur mon territoire !La "Cage o' fowls", c'est programmé - au rythme de Libellus...Pour Cage, jdm connaît la musique, et pour la volaille (je sous-titre ?) itou.
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G
JDM : je vois que rien n'échappe à ta sagacité... c'est dans la version "non-censurée"... on le trouve dans les archives secrètes du Vatican :-)THOM : Arrête !!! :-)
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T
LAIEZZA : "la folle histoire des blogueurs..." ne m'y pousse surtout pas ! :-)Et c'est là que j'arrive et  que je dis : "pouah ! même pas cap'" :-D
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J
4, 13 tu es sûr ?Non, c'est une version apocryphe, il n'y a que neuf versets dans le psaume 4 et le psaume 4 ne peut être que le psaume 4, c'est plus loin que ça se complique avec une double numérotation.Et puis ta traduction... balls, c'est pas bowls ? je laisse le Saint Révérend te rectifier.
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G
REV. : Oui, Révérend, j'arrête... il était temps que tu me remettes dans le droit chemin ! And The Lord, he says : you gotta' be straight, man ! And you gotta listen to Man Man, a real straight band for real men, real men with f*** big balls ! Amen...(Psaume 4, verset 13) 
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R
'ça me touche ça me touche'...t'arrete un peu?Merci pour 'man man' vieux, c'est 'achement bien foutu !
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G
J'en avais oublié...ARBOBO : Bravo pour ce bel exemple de sérieux journalistique ! (Ce que j'ai fait ? je ne sais pas, je ne sais plus... c'est vrai que j'ai moi aussi ouvert la boite de Pandore...)LAIEZZA : "la folle histoire des blogueurs..." ne m'y pousse surtout pas ! :-)JDM : Je ne sais pas trop quoi dire à part... merci beaucoup, ça me touche !
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J
OK, GT, euh, on partage, parce que le Golb a un bon audimat, évidemment quand on fait une émission de jeu par jour, alors que Libellus, qui est beaucoup plus lisible (qu'on ne le croit), a un blogrank dans un état proche de l'Ohio.Bon, je voudrais quand même profiter de ce sujet, exceptionnel sur art-rock, pour dire, je sais, je suis moins drôle quand je le fais sérieux, que ------ où en étais-je ?il y a très peu de blogs (je dis très peu pour ne froisser personne, déjà que nous avons un jaloux qui nous envoie l'huissier) où l'on trouve des articles de synthèse informés et construits et où l'on peut délirer sans que ça vire forum lol.Et ça, c'est l'esprit GT (et c'est vrai pour les quelques autres que nous n'allons pas froisser voir supra).
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G
JDM :  Je suivrai ton conseil, ses avocats peuvent toujours venir, je les attends de pieds fermes... d'autant plus que les miens ont presque réussi à le virer du Golb (Thom raconte qu'il part en vacances, mais c'est parce qu'il n'ose pas avouer qu'il est à deux doigts de se faire expulser de son propre Golb, que je pense récupérer d'ici-peu !)
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J
Je me suis réveillé avec le fou rire et je rappelle que ce n'est pas bon pour ma tachycardie, oui, il faut croire que j'en ai rêvé, je me suis réveillé avec Pour la garde de jdm, tu verras avec mon avocat, signé Thom, là on va s'en occuper, GT, je ne te veux pas de mal, refuse la garde, même conjointe, on l'aura ![j'ai fait le milleetunième billet sur mai 68 --- il faut bien que je fasse ma promo]
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L
Alors ? Qui se charge d'écrire : "La folle histoire des blogueurs" ? :)
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A
j'essayais des dentelles de Manowar, voilà tout.investigations journalistique.(GT, qu'as-tu fait!? qu'est-ce que c'est que ce blog dis donc, ça va être facile maintenant pour parler de Beethov... )
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G
THOM : Bon, OK pour Arbobo, j'avoue (merci quand même, JDM, d'essayer de me sauver la mise) par contre Rxqueen... mais que vas-tu imaginer là ! une fille ??? Non, le fouet était bien entendu celui de KMS...THIERRY : Il revient au galop... oui, comme un superbe étalon qui... bon, faut que j'arrête, je vais finir par virer ma cutie :-)
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