A écouter le SNEP français (Syndicat National de l’édition phonographique), le p2p est la cause de tous les maux, un ennemi de la musique à éradiquer au plus tôt. Mais chez les canadiens, c’est un autre son de cloche. Des études ont été menées par le SNEP canadien, et elles montrent que le p2p ne nuit pas à l’industrie du disque, que le téléchargement n’est pas incompatible avec l’achat de disque et que ceux qui téléchargent le plus achètent toujours beaucoup d'albums (d’autres études l’avaient déjà démontré).
Lire à ce sujet l’article paru sur ratiatum :